Bijouterie en ligne Ocarat & PrestaShop : une association en or
Il y a 10 ans, le pure player Ocarat voyait le jour, proposant sur sa boutique en ligne seulement quelques modèles. Aujourd'hui, le e-commerce qui utilise PrestaShop est devenu un incontournable de la bijouterie sur internet. Mais comment cette marque est-elle devenue, en adaptant son CMS à ses besoins au fil de l'eau, un véritable modèle de réussite pour quiconque souhaiterait lancer son commerce en ligne ? Réponse dans le podcast le Panier, en compagnie de son créateur Laurent Kretz et Grégory Pairin, co-fondateur d'Ocarat.com
Se faire une place sur un marché saturé : les best practices
Ocarat joue désormais dans la cour des grands : l'entreprise réalise plus de 20 millions d'euros de chiffre d'affaires, et compte 35 000 références en ligne, 100 000 clients, 80 salariés, 500 000 visiteurs uniques chaque année, ainsi qu’une boutique rue de Rivoli.. Pour y arriver, la marque a dû faire preuve de persévérance, mais pas seulement. C'est principalement grâce à sa stratégie que la marque est devenue n°1 dans le domaine de la bijouterie en ligne. Une stratégie qui repose notamment sur son adossement à PrestaShop, grâce auquel elle a pu construire peu à peu des outils adaptés à ses besoins du moment : commerce unifié, gestion de stock, analyse pricing ou encore SEO.
Pourtant, c'est avec très peu de background qu'Ocarat s'est lancée sur le marché, avec au total 5 associés, très peu de connaissances de son domaine, à savoir la bijouterie familiale traditionnelle, et un CMS. Ce dernier a eu un rôle primordial dès le début : « Après une étude de marché, nous nous sommes aperçus que le segment de la bijouterie familiale traditionnelle était absent de la bijouterie en ligne. On s'est donc lancés en se calquant sur le fonctionnement de la distribution de chaussures en ligne, très similaire au nôtre. Nous voulions nous démarquer en proposant un très large choix de produits, tout en ayant au départ que très peu de références et de stocks. Du coup, on a commencé petit, pour enrichir au fil de l'eau le catalogue et proposer des dizaines de milliers de références. Le tout sans forcément avoir tout le stock à disposition, même aujourd'hui » explique Grégory Pairin au micro de Laurent Kretz. Sur ce critère, PrestaShop s'avère être l'outil idéal, offrant des possibilités pour à la fois modeler son catalogue et gérer ses stocks en flux tendu.
Mais l'outil semble avoir participé à la réussite d'Ocarat de bien d'autres façons : la marque a choisi d'axer sa stratégie sur un marketing soft et un SEO bien rodé. « Notre secteur, nous ne le connaissions pas. Nous avons dû observer, aller chercher les ressentis des clients, leur retour sur expérience, tout ça pour adapter notre produit et notre service en fonction de leurs discours », poursuit Grégory. En d'autres termes, Ocarat est resté User Centric tout du long. Là encore, PrestaShop dispose de bon nombre d'outils et de fonctionnalités pour permettre de mener à bien cette stratégie.
De l'importance de rester fidèle à son CMS en l'adaptant à ses besoins
À la question du lien entre Ocarat et PrestaShop, Grégory Pairin est formel : « PrestaShop est notre plateforme de choix depuis le début. Et on y reste. Je ne serais pas là si nous n'étions pas satisfaits depuis le début ».
Les raisons de cette réponse sont nombreuses. D'abord, sur le marché français, c'est PrestaShop qui a la plus grosse communauté d'utilisateurs, de développeurs, de modules : « Chaque fonctionnalité dont on avait besoin était déjà disponible, en cours de développement, ou nous avions la possibilité de la créer nous-mêmes. Le tout sans frais supplémentaires, ce qui est idéal lorsqu'on commence avec un petit budget ».
Depuis, Ocarat a fait le choix de rester fidèle à PrestaShop. Car « pourquoi partir lorsqu'on est satisfait » souligne le fondateur d'Ocarat. Autre point important, celui des difficultés techniques propres à chaque outil : « Je fais partie de grandes communautés d'e-commerçants, et on se rend compte que chacun rencontre des problématiques techniques à différents niveaux. Pour nous, l'édition de base de PrestaShop est parfaite. Elle peut encaisser beaucoup de trafic et de commandes. Nous n'avons aucune raison de migrer ailleurs. Sans compter que le changement de plateforme est un processus très lourd et très long, il ne faut pas l'oublier ! », conclut Grégory Pairin.